ROMAN A DECOUVRIR : " Le châtiment des forges " un roman à suspense de Michel Baudry
- Par christian62
- Le 26/12/2020
- Dans LOISIRS (Spécial Confinement)
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ROMAN A DECOUVRIR
Michel Baudry est un ami que j'ai rencontré lors de l'édition 2014 de l'Académie Blazac. Il habite dans un charmant petit village de Vendée, et signe ici son cinquième roman avec "Le Châtiment des Forges"qui est paru début de ce mois de décembre 2020.
Michel Baudry, né en Vendée en 1966, Professeur de guitare en école de musique, auteur de Tout peut arriver même les meilleures choses, Le Code de Pandore, Cristal de Sang et Le carnaval des maudits publiés aux Editions du net, signe ici son cinquième roman mêlant le suspense au fantastique.
Pour le commander, contactez Michel via sa page facebook
https://www.facebook.com/baudrymitch
ou via son adresse mail :
michelecrivain@free.fr
EXTRAIT DU ROMAN LE CHÂTIMENT DES FORGES
Chapitre 1
Quelques gouttes de condensation perlaient sur l’encart publicitaire de l’abri de bus. Les maisons et buissons alentour se fondaient dans la brume matinale qui enveloppait cette route secondaire de campagne. C’était fin septembre et la saison déclinait au fil des jours. David attendait le car depuis une bonne heure. Il n’était guère pressé de partir. Une soudaine nausée le fit se diriger derrière l’abri où il vomit. De taille moyenne, il était svelte, mais bien musclé. D’origine italienne, il en avait hérité un teint légère-ment mat et de fins cheveux châtains foncés coiffés avec la raie sur le côté. Ses yeux tirant sur le vert et ses lèvres fines lui donnaient un aspect à la fois mélancolique et ténébreux. Il sortit de sa poche un mouchoir en papier pour s’essuyer la bouche. Il songea encore à cette cuite qu’il avait prise la veille. Il avait pratiquement vidé une bouteille de whisky, après deux ou trois bières, dans le bar situé à cent mètres de son logement, un T3 dans un immeuble datant des années quatre-vingt. Difficile d’oublier sa petite amie Corinne qui venait de rompre. Ils avaient vécu ensemble pendant trois ans. Elle s’était opposée à son départ, mais comme d’habitude, David n’en avait fait qu’à sa tête. Il avait eu beau la rassurer en lui expliquant qu’un mois serait vite écoulé, Corinne ne voulait rien savoir. Soit il restait et trouvait un autre emploi à proximité, soit il partait définitivement. Le diplôme d’éducateur spécialisé qu’il avait en poche devait forcément l’orienter vers une nouvelle direction. Il ne pou-vait plus supporter cette entreprise pour laquelle il avait travaillé ces cinq dernières années. Pour David, cette longue période avait été perdue à faire du zèle pour ne grimper que d’un échelon. Certes, grâce à une nouvelle promotion, il aurait obtenu un meilleur salaire, ce qui lui aurait permis d’emménager avec Corinne dans un pavillon neuf et fonder une famille. Toutefois, cette perspective de demeurer un employé de bureau menant une vie trop banale le répugnait. Lui qui rêvait d’aventure, avait repris ses études pour obtenir le sésame qui lui permettrait d’échapper à cette routine. Dès l’obtention de son diplôme, il avait répondu à une annonce :
Association sérieuse recherche éducateur spécialisé en réinsertion pour jeunes en difficulté. Formation entretien des forêts de-mandée. Poste à pourvoir pour une durée d’un mois dans le département des Vosges.
Cela correspondait tout à fait à ses recherches. Un mois dans les Vosges tous frais payés pour former des jeunes délinquants au métier de bûcheron. La lettre annonçant qu’il avait été sélectionné mentionnait deux groupes de quatorze jeunes. Le deuxième groupe serait confié à un autre formateur plus expérimenté. David comptait sur l’expérience de ce confrère pour l’épauler. Quelques larmes coulèrent sur ses joues au souvenir de Corinne. Il renifla et leva la tête pour apercevoir le car qui approchait. Le long véhicule station-na à quelques mètres. Les portières pneumatiques s’ouvrirent, un homme d’environ trente-cinq ans descendit les trois marches et s’approcha de lui en six pas. Il faisait environ un mètre quatre-vingt. Très sec, il était sommairement vêtu d’un pull bleu marine, d’un jean et de baskets. Il semblait nerveux et méfiant comme si tous ses sens étaient en alerte. Il avait les pommettes saillantes et les traits tirés. Ses yeux d’un gris bleu rendaient son regard perçant. Ses cheveux châtains, grisonnants, assez courts, coiffés en brosse renforçaient son aspect agressif. Il avança vers David qui posait sur son épaule la sangle d’un volumineux sac de sport. Ils se serrèrent la main. L’homme se présenta en pointant David de l’index :
— Bonjour, je m’appelle Alain Fournier. Je dirige la formation. Toi, tu es David Pellicano, c’est ça ?
— Oui, c’est bien ça. On y va ?
Alain posa sa main sur l’épaule de David.
— Attends ! Tu sais, j’ai l’œil et à mon avis, tu as dû prendre une sacrée cuite hier pour avoir cette tête de déterré. Que t’arrive-t-il, tu as des soucis ?
— Non, rien de grave. Je me suis disputé avec ma copine et j’ai un peu fait la fête pour oublier.
— Alors je t’arrête tout de suite. Tu vois, dans ce car, il y a vingt-huit gamins prêts à exploser. Enfin, quand je dis exploser, c’est une façon de parler. Il va falloir les tenir durant tout le trajet. Ce ne sont que des branleurs, mais ils sont à l’affût de la moindre faille d’une quelconque hiérarchie. Ils supportent très mal l’autorité. Alors comme je devine que c’est la première fois que tu fais ce genre de boulot, je vais te faire une fleur. Tu ne vas pas leur dire bonjour tout de suite. Tu vas t’asseoir à l’avant du car et tu vas te reposer jusqu’au prochain arrêt, c’est à dire dans quatre heures. Parce que s’ils te voient dans cet état, tu vas perdre toute crédibilité et ils vont se foutre de ta gueule. Et moi je ne tiens pas à ce que cette formation commence par du bordel, c’est bien clair ?
— Oui, oui, ok, c’est bien clair. Je m’assieds à l’avant et je la boucle jusqu’au prochain arrêt.
Cette proposition arrangeait plutôt le jeune formateur qui avait du mal à émerger du brouillard. Son intestin, irrité par les abus de la veille, le faisait souffrir. Avec le bercement du véhicule, il pour-rait peut-être un instant oublier ses soucis et brûler ses vapeurs d’alcool. Une fois grimpé et installé dans le car, il brancha son casque audio sur son smartphone, puis s’endormit en écoutant des vieux tubes. Quatre heures plus tard, Alain le réveilla sur un ton toujours aussi sec :
— On est arrivés, mon garçon. J’ai dit aux gamins que tu étais malade et que tu avais besoin de te reposer. Nous descendons tous, y compris les chauffeurs. Tu viens ? Il faut surveiller les mômes. Je n’ai pas envie qu’ils piquent des conneries dans la boutique de cette station.
— Je vous rejoins.
David regarda l’heure sur son smartphone, il était pratique-ment 11 heures. Il s’étira en bâillant. Il vérifia s’il avait bien son portefeuille dans la poche de son blouson et descendit du car. Le soleil dissipait les quelques nappes d’humidité de l’enrobé qui indiquaient qu’il avait plu récemment. La plupart des jeunes étaient à l’intérieur de la boutique, les autres fumaient à l’extérieur. David se dirigea vers la machine à café où il retrouva Alain et les chauffeurs. Il introduisit une pièce dans le distributeur et sélectionna un cappuccino. La pièce retomba aussitôt dans la trappe de rembourse-ment du monnayeur. David essaya à nouveau, ce qui eut le même effet. Il mit une seconde pièce avec le même résultat. Il insista en grommelant. Alain lui porta secours en introduisant une autre pièce qui, cette fois-ci, fut acceptée par le distributeur.
— Inutile de t’énerver ! Il suffit juste de trouver la bonne pièce.
— Merci ! Je ne comprends pas, on a dû me refiler des fausses pièces d’un euro.
— Pas forcément ! Certaines pièces se magnétisent et perturbent les monnayeurs de certains distributeurs.
— Tu as l’air de t’y connaître.
— J’ai dépanné les distributeurs à une époque. Je connais tous les défauts de ces appareils.
Accoudé à une table ronde, haute et de petit diamètre, David était intrigué par le manège de l’un des jeunes délinquants. Celui-ci dissimula quelques friandises dans sa poche et se rendit aux toilettes. Abandonnant son café sur la table, David s’excusa auprès d’Alain avant de gagner à son tour les toilettes. Le jeune voleur en question allait entrer dans l’un des cabinets lorsque David l’interpella :
— Donne-moi ce que tu as mis dans tes poches !
Arrogant, le gamin de taille moyenne se retourna brusquement pour lui répondre sur un ton agressif :
— T’es qui toi pour me parler comme ça ?
— Je m’appelle David. Je suis l’un des moniteurs chargés de te former. Vide tout de suite tes poches avant que je me fâche !
Le jeune se mit à lui tourner autour en le menaçant :
— Non mais tu crois que tu m’impressionnes ? T’as un problème ou quoi ? Tu veux te la mettre ?
David allait l’attraper par le col lorsqu’au même moment, Alain entra lui aussi dans les toilettes. Vif comme l’éclair, il saisit le jeune et lui fit une clé de bras. Il le força à s’agenouiller. L’adolescent le supplia de le lâcher.
— D’abord, tu t’excuses et tu me donnes ce que tu as piqué dans le rayon.
L’adolescent accepta. Une fois debout, il donna à Alain ce qu’il avait volé et s’excusa auprès de David. Lorsqu’il fut sorti des toilettes, Alain fit des recommandations à David :
— Ne te laisse jamais dominer dans ce genre de situation !
— Il ne me dominait pas. Je n’ai pas besoin de violence pour me faire respecter.
Alain lui tapota la poitrine du revers de la main.
— Tu crois tout savoir hein ? Tu as eu ton diplôme et tu crois que ça se passe comme on te l’a expliqué en formation. Eh bien détrompe-toi ! Avec ces jeunes branleurs, c’est la loi du plus fort.
— Ce n’est pas ce que j’ai dit, mais je ne pense pas que l’agressivité et la violence soient une réponse à leurs problèmes.
— Très bien monsieur le psychologue ! Fais comme tu le sens, on en reparlera.
David se demanda s’il n’aurait pas dû récupérer son sac dans la soute et repartir en stop dans l’autre sens. Cette idée passagère disparut lorsqu’il s’approcha de la table où son café chaud l’attendait. Alain discutait avec une jeune femme. De type méditerranéen, celle-ci avait les yeux foncés. Une casquette recouvrait ses cheveux bruns coiffés d’une queue de cheval. Le pantalon couleur treillis et la veste noire, courte, de type cachemire qu’elle portait, donnaient lieu à penser qu’elle faisait partie du groupe d’adolescentes.
— Je te présente Irène Garsès, la monitrice qui s’occupe des filles, lui indiqua Alain en pointant celle-ci de sa main.
— Bonjour, je me nomme David Pellicano…
— Ne te fatigue pas, je lui ai déjà dit qui tu étais, le nargua Alain.
— Je croyais que nous n’étions que deux à gérer ce groupe.
— Que veux-tu que je te dise ? La mixité, mon vieux !
— Ne vous inquiétez pas, dit-elle à son tour, je connais bien le métier de bûcheron. Je viens des Pyrénées.
— Vous êtes d’origine espagnole ?
— Oui, mon accent me trahit.
— Gardez-le, c’est un joli accent du Sud.
— Dis donc, tu commences fort, toi, ironisa Alain.
— Disons plutôt que j’ai retrouvé la forme.
— C’est vrai que tu as repris des couleurs. Tu ne trouves pas, Irène ?
— Je l’ignore, je l’ai à peine aperçu ce matin, répondit-elle. Elle s’adressa ensuite à David :
— Tu t’es aussitôt engouffré dans ton siège.
— Oui, je sais. Une peine de cœur que j’ai noyée dans l’alcool hier. Comme je n’étais pas très frais, il valait mieux que je ne la ramène pas.
— C’est moi qui lui ai conseillé de se reposer, reprit Alain. Pas la peine de donner de bonnes raisons à ces branleurs pour qu’ils le chambrent durant le stage.
Tous trois observaient les stagiaires qui continuaient de fouiller les rayons de la boutique et ceux qui fumaient à l’extérieur. David chercha à meubler le silence :
— Il reste encore beaucoup de route ?
— Entre cinq et six heures, répondit Alain en grimaçant.
Durant le voyage, Alain intervint à plusieurs reprises pour recadrer certains agitateurs. Notamment Étienne et Elmas, un Français et un Turc qui s’amusaient de paire à taquiner Rosario et Charo, les deux inséparables Espagnoles du groupe. Ils s’arrêtèrent encore pour pique-niquer car il était hors de question pour les trois moniteurs et les deux chauffeurs qui se relayaient de débarquer dans un restaurant avec vingt-huit jeunes, même s’il y avait parmi eux des délinquants adultes qui auraient pu encadrer le plus jeunes. Enfin, quatre heures trente plus tard, ils arrivèrent aux Forges, une petite commune de mille trois cents habitants située à proximité d’Épinal, petite ville des Vosges traversée par la Moselle et naguère réputée pour ses célèbres images. Les passagers n’avaient qu’une idée en tête, prendre l’air et se dégourdir les jambes. À la demande des fumeurs, le chauffeur stationna le car près du bureau de tabac. Le bâtiment unissait le commerce à une boulangerie pâtisserie. Une bonne partie des passagers se dirigea vers le bureau de tabac...
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Autre romans de Michel Baudry :
Décembre 1980, Jeanne Curlin, vingt-neuf ans, est couturière dans une petite usine de textile à Roubaix. Ville où elle partage sa vie avec Paul, ouvrier dans une usine de chaussures. Celui-ci n’est pas prêt à assumer une paternité, contrairement à Jeanne qui n’a qu’une envie, fonder une famille pour sortir de cette routine incessante qui la mène de la maison à son lieu de travail. Son père, immigré anglais, victime d’un grave accident de la route dont il a gardé d’importantes séquelles, a perdu toutes traces de son passé. Décédé en 1968, il sera rejoint l’année suivante par sa femme, infirmière au centre hospitalier Victor Provo.Orpheline depuis ses dix-huit ans, Jeanne est passée par une longue dépression. Soutenue par son médecin et Paul, elle a réussi à stopper une prise excessive de médicaments mais reste psychologiquement fragile. Harcelée au travail par un chef tyrannique, Jeanne vit difficilement sa condition ouvrière. Elle retrouvera, malgré tout, l’espoir en découvrant par hasard l’existence d’un parent qui lui fera de troublantes révélations sur le passé de son géniteur. La langue de Shakespeare que son père lui a transmise lui permettra d’échapper à cette monotonie et vivre quelques péripéties qui la conduiront vers un avenir plus prometteur. Comme quoi, tout peut arriver, même les meilleures choses.
Prix : 15€ (Editions du Net)
Discipline : roman - Parution : 03-04-2013
Auteur : Michel Baudry - ISBN: 978-2-312-00739-7
Format : 150x230 mm - Nombre de pages : 216
Suite des aventures mouvementées de Jeanne Curlin. Ayant réussi à s’emparer du journal d’Audrey Durand, Jeanne va tenter d’en déchiffrer le contenu pendant les vacances qu’elle passera à Lausanne, chez sa tante. Durant son séjour, elle rencontrera de nouveaux personnages. Parmi eux, un étrange marchand d’art qui apprendra à ses dépens le métier de Victoria Curling ; un commissaire de police, grâce à qui, Jeanne saura quel genre d’étudiante était sa tante ; et pour finir, une ombre qu’elle devra oublier. Cette deuxième partie, plus trouble que la première, étayée par le journal d’Audrey, connaîtra fort heureusement, des épisodes burlesques grâce à la présence de Denise Rapin. La couverture est tirée du tableau Psyché de John William Waterhouse (1849-1917).
Prix : 15€ (Editions du Net)
Discipline : roman - Parution : 08-04-2014
Auteur : Michel Baudry - ISBN: 978-2-312-02171-3
Format : 150x230 mm - Nombre de pages : 222
Loin de Lille, Jeanne Curling réalise son rêve en intégrant une troupe de théâtre. Elle pense en avoir terminé avec le passé de son père et le journal d’Audrey Durand. Les nouvelles de Christine venue lui rendre visite vont lui démontrer le contraire. Toujours en quête d’un probable membre de sa famille, Jeanne tentera de convaincre Claude Brémond du lien de parenté qui les unit. Un mystérieux policier d’Interpol essaiera de persuader notre héroïne d’accepter un étrange marché en lui apportant de nouveaux éléments sur l’accident de son père. Convaincue, Jeanne voyagera en direction de Zurich pour rencontrer son destin. Le roman au titre sans équivoque vous transportera cette fois-ci dans une ambiance de polar.
Dernier roman de la trilogie de Jeanne Curling
Prix : 16€ (Editions du Net)
Discipline : roman - Parution : 04-06-2015
Auteur : Michel Baudry - ISBN: 978-2-312-03407-2
Format : 150x230 mm - Nombre de pages : 216
Fils du défunt créateur de la célèbre marque de plats préparés CAMLA, Pierre Campion Laplace pourrait se laisser vivre et aisément se faire entretenir par sa mère qui a revendu toutes ses parts de l’entreprise encore florissante. Pourtant, ayant promis à son père de faire carrière dans l’architecture, il s’obstine malgré sa médiocrité en ce domaine. Lors d’un voyage pour affaire à Marrakech, l’architecte considéré comme raté retrouve dans l’hôtel où il est hébergé, sa fille Marnie kidnappée vingt ans auparavant. Celle-ci se prostitue avec les clients les plus fortunés de l’hôtel. Grâce à l’aide de son ami Félix, employé à l’ambassade de Rabat, Pierre parviendra à lui trouver des papiers pour la ramener en France. L’accueil réservé par la famille n’est pas celui que Pierre espérait. Il découvre alors des secrets de famille jusqu’à présent insoupçonnés. Un accident et des crimes se succèdent.
Prix : 19€ (Editions du Net)
Discipline : thriller - Parution : 31-08-2017
Auteur : Michel Baudry ISBN: 978-2-312-05391-2
Format : 150x230 mm Nombre de pages : 280
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